En France, 9,3 millions de personnes, dont 500 000 mineurs aidants, soutiennent au quotidien un proche en perte d’autonomie ou en situation de handicap. Parmi eux, un aidant familial sur cinq est salarié.
En France, 12 millions de personnes sont en situation de handicap. Parmi elles, 10 millions de personnes (soit 80% des personnes handicapées) ont un handicap invisible.
Pour les entreprises, les écarts générationnels ne sont pas sans poser de profonds défis organisationnels : engagement, quêtes de sens, conditions de travail, salaire… Comment gérer tout cela et quelles bonnes pratiques en la matière ?
Comment intégrer les enjeux environnementaux dans la stratégie philanthropique de l’entreprise, et, au-delà des normes, concilier création de valeur économique et développement durable ?
L’entreprise a une obligation légale de santé et de sécurité de ses salariés. Or, le climat au travail s’avère encore difficile pour les personnes LGBT+ avec des expressions Lgbtphobes qui perdurent, des discriminations encore très présentes.
Les comportements LGBTphobes restent malheureusement trop présents dans les entreprises et se manifestent à divers moments de la vie professionnelle, depuis le recrutement jusqu’à l’évolution de carrière, voire au départ des collaborateurs LGBTQIA+.
Le critère de l’apparence physique fait partie des motifs de discrimination introduits par la loi n°2001-1066 du 16 novembre 2001 en même temps que d’autres critères tel que l’âge, le patronyme, l’origine, le sexe ou l’orientation sexuelle.
Comment renouveler et dynamiser la stratégie d’engagement des collaborateurs, grâce aux initiatives croisées des départements RH, D&I et Philanthropie ?
Frein pour les uns, avantage pour les autres, l’impact de l’apparence physique n’est pas négligeable non seulement au moment de l’embauche mais également tout au long du parcours professionnel.